Chemins de Paix

Friedenswege Paths of Peace |

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Ancienne synagogue de Kippenheim

La synagogue de Kippenheim, inaugurée en 1852, est l’un des rares témoignages de la vie juive autrefois florissante dans l’Ortenau. Il reflète le destin mouvementé des Juifs de Baden, de leur émancipation au XIXe siècle à leur expulsion et à leur assassinat par les dirigeants nationaux-socialistes. L’ancienne synagogue de Kippenheim est également un miroir de la manière dont l’histoire de la persécution des Juifs a été traitée après la Seconde Guerre mondiale jusqu’à aujourd’hui. Au rez-de-chaussée du mémorial, une frise chronologique fournit des informations sur son histoire, et une exposition dans les galeries du mémorial est consacrée à la culture des Juifs ruraux de l’Ortenau.

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L’Institut de la Paix

L’Institut de la Paix sert la recherche interdisciplinaire et pratique, l’enseignement et la formation continue dans les domaines de l’éducation à la paix et du travail pour la paix. Il propose aux étudiants de tous les programmes universitaires et à d’autres groupes cibles des modules d’enseignement – séminaires, ateliers, formations et journées spécialisées – qui contribuent à une culture de la non-violence et de la paix. Ces tâches éducatives sont orientées vers la promotion de la démocratie et de la durabilité. Un accent particulier est mis sur les domaines de la transformation des conflits, de l’éthique de la paix et de la théologie de la paix.

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Chemin de réconciliation franco-allemand

La Chapelle de la Rencontre fait partie du Chemin de la Réconciliation transfrontalier dans le « Jardin des Deux Rives » entre Kehl et Strasbourg. Le chemin, avec ses différentes stations, est l’expression de l’histoire de la réconciliation franco-allemande, qui continue à revêtir une grande importance dans l’Europe d’aujourd’hui. Il peut également être parcouru en se demandant ce que signifie la réconciliation pour nous aujourd’hui ou pour l’époque actuelle.

Ce chemin de réconciliation transfrontalier décrit, à ses différentes étapes, le passé guerrier, le présent plein d’espoir et l’avenir prometteur de la coexistence des deux nations. Des motifs bibliques et autres permettent d’aborder la signification de la paix et de la réconciliation. Des offres pour les groupes sont possibles.

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Croix de la paix

La Croix de la paix entre Bühl et Ottersweier est un mémorial de la réconciliation franco-allemande après la Seconde Guerre mondiale. La croix de 14 mètres de haut, qui contient symboliquement des éléments du Westwall, de la ligne Maginot, une pierre de marbre de Monte Cassino et un morceau de roche de Calvaria, a été inaugurée par l’archevêque de Fribourg, Wendelin Rauch, en mai 1952. Au pied de la croix, on commémore les victimes et les destructions de la guerre ainsi que les modèles de non-violence. La croix de la paix de Bühl est étroitement liée à l’histoire du mouvement catholique international pour la paix pax christi.

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Liebfrauenhof

Le Liebfrauenhof se fonde sur l’éthique d’Albert Schweitzer du respect de toute vie. Cela se traduit notamment par le jardinage et la musique au Liebfrauenhof, ainsi que par l’engagement dans le travail franco-allemand pour la paix. De là sont nés les réseaux « LocalPEACE Offenburg » et « Friedenswege e.V. – Chemins de Paix ».

Le Liebfrauenhof se fonde également sur la non-violence de Gandhi. Cela se concrétise par un engagement social pour la justice et la paix. C’est de là que vient l’engagement dans le mouvement communautaire international « Arche – non-violence & spiritualité » et dans la campagne « Défendre civile non-violente ».

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Les sons de la paix

Les sons de la paix, les voix et le son,

Sons de paix : Sonnez partout !

Que les hommes se trouvent,

Que les hommes se voient,

s’unissent en paix, se comprennent mutuellement.

        Thomas Weiß

Laissez la musique résonner en vous,

Des sons qui sont pleins de joie.

Revivre dans des chansons fortes,

vous rendent forts pour le temps de paix.

         Eckart Bücken

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La maison Jean Goss
Association Le Soc

Un cadre convivial propice à la réflexion, à la discussion et au repos

La Maison Jean Goss est située dans le hameau de la Kohlhuette, à 3kms du village de Wimmenau, en plein cœur du Parc Naturel des Vosges du Nord.  En bordure de forêt, elle donne la possibilité d’une immersion en pleine nature.

Animée par l’association Le Soc, née de la rencontre avec Jean et Hildegard Goss-Mayr et avec  Lanza del Vasto en 1979,  elle propose des formations,  conférences,  causeries autour de la non-violence et de l’éducation à la paix, en abordant des thèmes d’eco-citoyenneté, d’éco-spititualité, du respect de l’environnement…

Dans un souci de solidarité avec les plus démunis, l’association est orientée vers l’hospitalité et l’accueil de personnes à la marge de notre société en partenariat avec des organismes sociaux, Églises ou associations, en proposant des activités éducatives autour d’un potager et des activités artistiques.

La Maison  est mise à disposition en autonomie (chauffage au bois) pour des séjours  de petits groupes ou personnes ayant tout simplement besoin d’un moment de calme, de repos et de ressourcement dans la nature. Elle peut héberger douze personnes en dortoirs et accueillir en journée des groupes allant  jusqu’à vingt personnes.

Son engagement pour la paix

« Chacun de nous peut s’exercer à la non-violence pour une raison simple, la violence est partout, à commencer par nous… »  Jean Goss

Renouer avec le vivant, notre interdépendance en humanité et la cohésion sociale sont le cœur de

nos engagements en tant que membres d’une humanité en quête de sens

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Chapelle de la Rencontre

La « Chapelle de la Rencontre » est plus qu’un bâtiment : c’est un projet commun, bilingue et transfrontalier des Eglises protestantes du Pays de Bade (EKIBA) et d’Alsace-Lorraine (UEPAL). Les Eglises souhaitent favoriser la rencontre entre les personnes d’une rive à l’autre. Pour cela, des activités religieuses, culturelles et sociales sont initiées par un poste pastoral commun franco-allemand.

La coopération transfrontalière en ce lieu est unique. Elle fait partie de l’histoire de la réconciliation franco-allemande, qui continue à revêtir une grande importance dans l’Europe d’aujourd’hui. Pour la première fois, il a été possible de donner à cette coopération, par le biais de services religieux et de manifestations communes, une structure contraignante qui s’engage pour la paix et la réconciliation par-delà les frontières.

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ABC-Climont

L’art de la rencontre

S’exercer à l’art de la rencontre. Tel est le fil conducteur du projet ABC-Climont qui prend racine au cœur des Vosges, dans un hameau qui a déjà une longue histoire d’hospitalité. ABC-Climont transforme l’ancienne colonie de vacances en un lieu d’accueil, de vie, de formation et de ressourcement.  Ce projet associe le Temple réformé du Climont situé en face de ces bâtiments. En organisant notamment des séminaires, des séjours, des conférences, des résidences d’artistes et l’accueil de personnes en situation de fragilité ou simplement de passage, ABC-Climont se propose d’être un lieu laboratoire de la rencontre. La programmation se décline autour de quatre champs thématiques : Se ressourcer (Nature), Créer (Culture), Penser (Réflexion), Croire (Spiritualité). 

Son engagement pour la paix


Le Climont : terre de refuge et d’accueil pour les mennonites venus de Suisse, ces premiers objecteurs de conscience ont déjà été exemptés du service militaire au temps de Robespierre. Situé sur les anciennes frontières entre la France et l’Allemagne, les habitants du Climont ont fait passer des personnes persécutées en temps de guerre (Sentier des passeurs). Au sommet de la montagne la tour construite par l’archéologue et orientaliste allemand Jules Euting ouvre l’horizon et sert à rassembler les différentes peuples autour d’un langage commun. Par son histoire le Climont invite à faire une halte pour méditer tous ces témoignages pour la paix.

C’est dans ce contexte qu’ABC-Climont s’engage activement pour la paix. L’idée principale d’ABC est de faire se rencontrer des personnes d’âge, de religion, d’origine, de milieu différents de manière à créer un lieu où la découverte d’autre se fait dans le respect. Aller à la rencontre de l’autre pour déconstruire les idées préconçues et devenir source d’inspiration et d’encouragement face aux multiples défis de notre temps, voilà où se trouve selon nous l’assise de la paix.

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Association Campus : Centre Théodore Monod

L’Association CAMPUS est une association protestante sans but lucratif ni politique (loi 1908) qui a été créée en 1985. Elle est aujourd’hui agréée par Jeunesse & Sports d’association Jeunesse & Éducation Populaire, et a pour but l’accueil et l’accompagnement de jeunes (de 6 à 18 ans).

Elle propose des activités le soir, les week-ends et pendant les vacances à des jeunes et jeunes adultes de toutes confessions et de toutes provenances tout au long de l’année. Campus réside au Centre Théodore Monod, 11 rue Gutenberg à Colmar, dans le quartier Saint-Joseph et Au Parc de Saint-Marc, 1, Rue de la Forge à Colmar

  • Nous proposons une écoute active, un lieu qui stimule la vie de groupe et rassemble des jeunes provenant de tout horizon.
  • Le Centre contribue, avec des partenaires, à développer l’éducation à la citoyenneté, la sensibilisation à l’environnement en développant un jardin partagé et le respect des droits de la personne humaine.  L’éveil à la culture religieuse s’inscrit dans cette recherche.
  • L’accueil de l’autre, le respect de l’altérité et la diversité culturelle sont vécus comme une richesse humaine à préserver et à développer dans la rencontre et le dialogue. Tout jeune qui le souhaite sera accueilli au Centre, quelle que soit son origine sociale, culturelle ou religieuse.
  • Le projet du Centre souhaite donc créer un lieu de vie qui soit un outil de témoignage et de rencontre au service des jeunes et adultes, avec leur collaboration.

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Maison Albert Schweitzer

Albert Schweitzer, philosophe, théologien, organiste, pionnier de la médecine humanitaire en Afrique, est une des plus grandes figures du 20ème siècle. Toute sa vie fut gouvernée par son grand principe éthique du « Respect de la Vie », récompensé par le prix Nobel de la paix en 1952. On peut découvrir dans sa maison à Gunsbach l’homme qu’il a été et l’héritage spirituel qu’il a laissé. Mais on y parle surtout de son actualité et de ce qui doit continuer à nous inspirer. Sa simplicité, sa foi en l’humanité, le respect de toute forme de vie, le dialogue entre les grandes religions, son combat contre les essais nucléaires aux côtés d’Albert Einstein…

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Centre Schweitzer

Dans les pas du Prix Nobel de la Paix

Le Musée Albert Schweitzer de Kaysersberg retraçait le parcours du prix Nobel de la Paix : médecine humanitaire, combat contre l’arme atomique… Un message qui résonne plus que jamais auprès de tous les publics.

Grâce à ses installations et technologies nouvelles, le Centre Schweitzer, lieu unique en Alsace, proposera aux visiteurs une expérience ludique et originale, autour des principes humanistes chers à Albert Schweitzer : liberté, tolérance, respect mutuel. En défendant ces valeurs, le Centre Schweitzer entend devenir une référence internationale sur le thème de la paix.

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